Mot président et directrice générale

Président et directrice générale

De l’éleveur au consommateur : engagés plus que jamais !

La dernière année fut à nouveau teintée par la pandémie de la Covid-19, le télétravail et des habitudes de consommation axées plus sur le détail que la restauration. Elle a également été marquée par des imprévus que nous avons sus, en tant qu’éleveur et dirigeant, surmonter. Leadership, innovation, excellence et intégrité, voilà ce qui a guidé les décisions des Éleveurs de volailles du Québec (EVQ) cette année, plus que jamais désireux de collectivement bâtir un meilleur avenir.

Notre travail, en tant que représentant des éleveurs de volailles au Québec, est d’assurer la définition d’un juste niveau de d’allocation et de répartir cette dernière afin qu’elle soit réalisée par les éleveurs québécois. La rigueur et l’expérience de l’équipe des EVQ ont permis de réaliser des estimations justes des besoins du marché et de bien appuyer nos organisations nationales dans la définition du niveau des allocations. La réalisation de l’allocation de production a toutefois été un défi cette année pour la province, tant dans les secteurs du poulet que du dindon, compte tenu principalement des enjeux opérationnels chez les transformateurs. Deux épisodes d’euthanasie de poulets à la ferme ont ainsi été vécues en 2021, marquant une triste première pour la filière québécoise. Plus récemment, ce sont des enjeux d’approvisionnement en poussins et le coût des dindonneaux qui sont venus bousculer l’agenda des secteurs. Ce qui nous ramène à l’importance que chaque maillon réalise une planification de ses capacités, assument leur responsabilité, partagent leur plan de contingence et conviennent de mesures afin de réaliser l’allocation provinciale. C’est d’ailleurs ce que les délégués – réunis en rencontre d’information en janvier – ont unanimement demandé aux EVQ et aux autres partenaires afin d’éviter toutes nouvelles euthanasies.

Les EVQ ont travaillé activement cette année à l’adoption de modifications réglementaires et à la défense du maintien du plafond de détention de quota. Un plan d’intervention a d’ailleurs été présenté à la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec concernant les prochaines adaptations qui seront faites au règlement afin d’assurer l’accessibilité du quota à de multiples titulaires pour qu’ils le mettent en production et aussi éviter la concentration du quota aux mains de quelques joueurs. D’autres modifications visant à stabiliser le prix du quota ont été déposées à la Régie en début d’année. La pérennité de nos entreprises, l’établissement d’une relève et l’accessibilité du quota figurent parmi les priorités de travail de l’organisation. De plus, une filière forte doit assurer une saine concurrence entre les acteurs. C’est ce à quoi les EVQ veillent dans l’élaboration des modifications aux règlements, mais également dans le cadre du renouvellement des conventions de mise en marché. La Convention dans le secteur du poulet a été dénoncée, cette année, avec l’objectif d’avoir une convention plus simple et inclusive à de nouveaux transformateurs en utilisant la croissance de la production pour les établir. Cette approche positive permettra, nous l’espérons, une entente rapide avec les transformateurs.

L’année 2021 a également été marquée par la reprise des activités en présence. Ce ne sont pas moins de 22 rencontres d’éleveurs qui ont été réalisées durant l’année. La proximité des éleveurs, la possibilité de mieux comprendre les enjeux de chacun, de vulgariser les modifications réglementaires et les processus de définition de l’allocation, voilà les arguments pour la tenue de ses rencontres et la diversité des formules adoptées pour joindre les éleveurs. Merci d’avoir été si nombreux à participer! Votre présence est importante! Elle l’a également été pour la collecte des informations des coûts dans le dindon qui permet à l’organisation de définir des indicateurs afin de mieux appuyer nos demandes.

Après une année aux nombreux défis, les EVQ peuvent dresser un bilan des actions réalisées, en soulignant l’importance de nos obligations et de l’équité entre les éleveurs. La force de l’organisation a été d’être proposeur de solutions tout au long de l’année, ce que nous nous engageons à poursuivre. L’expérience et la rigueur de l’équipe de permanents de l’organisation permet d’avoir une vision plus éclairée quant aux actions à mener, leur travail est d’ailleurs salué.

Actuellement, la filière avicole du Québec est sur le pied d’alerte avec la présence de la grippe aviaire dans le corridor migratoire du Québec. En tant qu’acteurs de la filière avicole et agricole, nous sommes tous interpellés afin de rehausser les consignes de biosécurité et être vigilants. L’année 2021 a permis de mettre en lumière certaines lacunes de notre système. Je suis confiant que nous pouvons tous ensemble œuvrer pour corriger le tir en collaborant dans le dossier de la grippe aviaire comme dans tous les autres pour l’avancement de la filière.

Pierre-Luc Leblanc

Marie-Ève Tremblay

La production avicole au Québec

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titulaires
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emplois directs et indirects*
au Québec
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G$ CA
en contribution au PIB
* Kevin Grier, Market Analysis and Consulting Inc. (2019). L’impact économique des industries canadiennes de la volaille et des œufs en 2018, adapté de Statistique Canada, Simulations de modèles des entrées-sorties, 22 février 2019.

Répartition au Québec

*Suite à la répartition des quotas de production pour le poulet, des éleveurs demeurent en attente d’une confirmation de région de production.

Plan stratégique et priorités organisationnelles

Lors de l’avant-dernière année de leur planification stratégique 2019-2022, les Éleveurs de volailles du Québec ont pu réaliser une série d’actions visant à atteindre les objectifs ciblés du plan stratégique dans le respect de leur vision et de leurs valeurs. Ce plan est sous la responsabilité du comité exécutif.

Les 4 grands axes autour desquels le plan évolue sont :

1. Les EVQ et la vie associative. Favoriser les échanges et la communication​

Les membres du conseil d’administration ont établi plusieurs rencontres au cours de l’année afin de faire cheminer les mandats des délégués et les priorités de l’organisation, notamment concernant des enjeux réglementaires tant dans le poulet que le dindon.

Pour pallier le maintien de mesures sanitaires limitant le nombre de rencontres avec les éleveurs, l’organisation a eu recours à la formule « hybride ». Les EVQ ont tenu des réunions avec les éleveurs à 22 reprises au cours de l’année 2021, dont 4 avec les délégués. Une journée d’information pour les titulaires de quota de poulet et une autre pour les titulaires de quota de dindon ont aussi eu lieu. La captation de plusieurs rencontres a également été rendue disponible pour une écoute en différé. Toujours soucieuse de mieux accompagner les éleveurs, l’organisation a également ajouté de nouvelles fiches techniques à celles développées l’an dernier, dont une sur la santé des troupeaux. L’objectif premier demeure toujours d’offrir des outils de communication pertinents et un service d’accompagnement adapté à chacun de nos membres. L’organisation a également bonifié le portail d’information pour les éleveurs afin de faciliter l’accès à la documentation. Un portail sécurisé en cours de développement sera déployé en 2022.

La cellule de gestion de crise COVID a été maintenue et c’est un total de 24 rencontres auxquelles les Éleveurs ont participé en compagnie des représentants des producteurs d’œufs d’incubation, des éleveurs, des couvoiriers, des meuneries, des transformateurs de même que des intervenants des deux paliers des gouvernements provincial et fédéral. Les enjeux de la main-d’œuvre dans les équipes d’attrapage et dans les usines, l’euthanasie de poulets, de même que leurs impacts sur la planification de la production dans un contexte de pandémie ont été longuement abordés.

2. La viabilité du secteur. Assurer le développement et la pérennité des secteurs avec le système de la gestion de l’offre.

Les EVQ ont accordé une attention spéciale à la vulgarisation des grands principes du système canadien de la gestion de l’offre et à l’engagement de produire les volailles nécessaires pour les consommateurs canadiens afin de les rappeler aux partenaires et aux membres de la filière. Tous les éleveurs de poulets et de dindons répondent à ce contrat social d’offrir un produit de qualité en fonction des demandes des marchés.

Les EVQ ont participé aux rencontres d’allocation et justifié économiquement leurs estimations quant aux besoins du marché. La rigueur des analyses témoigne du souci de définir une juste allocation afin de répondre aux besoins des consommateurs canadiens en cours d’année, mais également de l’importance du système et de la capacité de réagir en temps de crise. Afin de réaliser leurs obligations, les EVQ ont demandé des plans de contingence aux partenaires de la filière afin de mieux planifier les actions des différents acteurs.

En 2021, le Programme d’aide au démarrage, le Programme d’aide à la relève et le projet pilote Production de poulets pour les marchés de proximité ont permis de donner un coup de pouce à 16 jeunes qui désirent faire de l’élevage de poulets leur projet entrepreneurial. Monsieur Marc-Antoine Paquet de Sainte-Florence dans le Bas-Saint-Laurent, gagnant du Programme d’aide au démarrage, pourra bénéficier d’un prêt de quota pour une durée de 20 ans. Quant aux 10 gagnants du projet pilote Production de poulets pour les marchés de proximité, ils pourront produire un contingent annuel allant jusqu’à 2 000 poulets. Ces éleveurs s’ajoutent aux 5 titulaires du Programme d’aide à la relève des Éleveurs. Ces programmes sont un moyen d’assurer le développement de la production et de répondre aux besoins du marché, tout en demeurant respectueux des règlements et des programmes de production en vigueur.

Les EVQ se sont aussi engagés à informer les éleveurs des performances du secteur à l’égard des pratiques d’élevage et des attentes sociétales concernant la production avicole. C’est d’ailleurs en mai que le secteur du dindon procédait au retrait de l’utilisation préventive des antibiotiques de catégorie III. Le retrait de ces antibiotiques est encore à l’étude pour le secteur du poulet alors que nous travaillons à l’évaluation des impacts associés à ce retrait, et ce pour l’ensemble de la filière.

3. Performance du secteur du poulet. Se doter de règles permettant de répartir, de produire et d’accroître l’allocation de poulet de manière innovante et respectueuse des meilleures pratiques.​

Assurer une gestion des quotas en fonction des valeurs des EVQ et des principes de la gestion de l’offre, ceci afin de favoriser la viabilité des entreprises et de la relève, voilà le mandat premier que les EVQ s’étaient donné pour cet exercice triennal. Les modifications réglementaires déposées en février 2021 et visant la mise en place d’une réserve de quota et l’encadrement de la location de quota et de la production dans un bâtiment loué à long terme atteignent cet objectif.

Après plus de 14 ans, les logos Le Poulet du Québec et Le Dindon du Québec se sont dotés d’une fleur de lys afin de s’identifier fièrement québécois. Dans la foulée de l’achat local et avec des objectifs d’identification en tablette, il était temps de se démarquer et d’afficher clairement nos origines.

Le poulet occupe une place enviable et stable auprès des consommateurs, mais depuis quelques années de nouveaux joueurs comme les protéines végétales ainsi que les préoccupations grandissantes pour le bien-être animal et les impacts environnementaux nous ont poussés à revoir le positionnement du Poulet du Québec. Nous avons travaillé à actualiser son identité et à reconfirmer l’amour du consommateur pour cette protéine, parce que le Poulet du Québec, c’est le meilleur choix. Pour se conformer à cette toute nouvelle image, le site du Poulet du Québec a été revu de fond en comble et est dorénavant mieux conçu pour offrir aux consommateurs ce qu’ils cherchent.

4. Performance du secteur du dindon. Valoriser la consommation du dindon et se doter d’un cadre favorisant le développement de sa production au Québec.

Comme mentionné plus haut, le logo du Dindon du Québec a également ajouté la fleur de lys à sa signature graphique. En collaboration avec les Éleveurs de dindon du Canada, dans le cadre de la campagne de marketing nationale, Le Dindon du Québec a réalisé des interventions promotionnelles et médiatiques durant toute l’année avec des mesures spéciales au début de l’année et lors des fêtes de l’Action de grâce et de fin d’année. À l’échelle provinciale, Le Dindon du Québec a fait son entrée dans les écoles de boucherie pour séduire une clientèle plus jeune. Ses qualités ont aussi été promues par le biais de collaborations avec le magazine RICARDO et avec l’Omnium Banque Nationale.

Les EVQ ont participé aux travaux des Éleveurs de dindon du Canada afin de définir les paramètres d’un système d’allocation national et ainsi garantir les parts de production québécoises, en tenant compte du type d’oiseaux produit et en respectant les principes de gestion de l’offre de la production.

De même, les EVQ ont adopté des modifications réglementaires visant la mise en place d’un calendrier afin d’effectuer un suivi de la production et ainsi s’assurer que la province respecte son allocation.

Structure organisationnelle

Conseil d’administration

L’organisation

Les Éleveurs de volailles du Québec regroupent les éleveurs de poulets et de dindons du Québec, détenteurs de quota de production. Chacun de ces éleveurs fait partie d’un syndicat régional. En tout, il existe 5 syndicats régionaux d’éleveurs de volailles au Québec.

Les dirigeants

Élus à tous les 2 ans dans chacune de leur région respective, les présidents et les premiers vice-présidents des syndicats régionaux forment le conseil d’administration. Un membre du comité des éleveurs de dindon en fait également partie. Entre eux, ils élisent un président, 2 vice-présidents et 2 membres qui formeront le comité exécutif. Le conseil d’administration décide des orientations à donner aux politiques, à la réglementation et aux questions qui concernent les Éleveurs de volailles du Québec. De son côté, le comité exécutif voit aux affaires courantes et s’assure de l’application des décisions du conseil d’administration.

Conseil d’administration

Nombre de réunions du Conseil d’administration : 46

Nombre de réunions du Comité exécutif : 30

Comité des éleveurs de dindon

Le comité des éleveurs de dindon a pour mandat d’assurer le suivi des dossiers ayant trait spécifiquement à ce secteur aussi bien au national qu’au provincial. Au cours de l’année 2021, les 7 membres se sont réunis à 19 reprises. Ces réunions ont permis aux membres de faire avancer plusieurs dossiers.

Concernant les dossiers nationaux, la 2e année de la pandémie a amené le comité des éleveurs de dindon des EVQ à suivre plus étroitement les conditions du marché afin d’intervenir avec pertinence lors des réunions des Éleveurs de dindon du Canada. Quant aux travaux de révision de la Politique d’allocation commerciale nationale, ils furent moins intenses en 2021 qu’en 2020. Les réunions virtuelles ont montré leurs limites pour ce type de dossier. Une rencontre en personne en novembre a permis de faire quelques avancées, mais la pierre d’achoppement reste l’intégration dans la Politique d’un élément pour stimuler l’innovation.

Sur le plan provincial, les membres ont fait avancer plusieurs dossiers réglementaires. Le Règlement sur la production et la mise en marché du dindon a été ajusté en début d’année 2021 pour préciser les dispositions du Système centralisé de vente de quota qui favorisent le démarrage de nouveaux titulaires. Des ajustements au mécanisme de conversion ont été étudiés par la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec qui a rendu une décision favorable en janvier 2022, tandis que le dossier des fiches de production a été soumis à la Régie.

Le Comité a aussi demandé à la Régie d’arbitrer un différend avec les acheteurs sur le prix des dindons femelles. La préparation de ce dossier, qui repose sur un écart disproportionné du prix des dindonneaux femelles entre le Québec et l’Ontario, a nécessité des échanges avec les couvoiriers, avec les offices des autres provinces et une médiation avec les acheteurs, avant d’obtenir une décision en arbitrage favorable aux EVQ à la mi-janvier 2022.

Les membres ont aussi analysé les résultats des travaux de Dre Louise Mercier sur l’incidence des boutons et kystes au bréchet chez les dindons lourds et planché sur un plan d’action qui demandera une participation de plusieurs intervenants de la production en 2022. Finalement, la stratégie de marketing pour le dindon a été révisée à la lumière d’une disponibilité plus faible du produit.

La réalisation de ces travaux a été rendue possible grâce à l’implication des membres au sein de plusieurs sous-comités : le comité exécutif dindon, le comité de la réglementation du dindon, le comité des approvisionnements et de la négociation des prix, le comité de production, le comité de la promotion et le comité des communications et de la vie syndicale.

Les comités

Le conseil d’administration peut compter sur le travail des comités consultatifs qui ont pour mandat d’étudier des dossiers spécifiques et de réaliser certains d’entre eux. Les membres du conseil d’administration sont répartis dans chacun des comités selon leurs intérêts. La composition des comités suit la tenue de l’assemblée générale annuelle.

Nombre de réunions : 16

Lise St-Georges, présidente du comité
Luce Bélanger
Mario Bérard
Pierre-Luc Leblanc
Louis-Philippe Rouleau

Nombre de réunions : 9

Stéphane Veilleux, président du comité
Luce Bélanger
Mario Bérard
Daniel Husereau
Pierre-Luc Leblanc

Nombre de réunions : 9

Louis-Philippe Rouleau, président du comité
Luce Bélanger
Pierre-Luc Leblanc

Nombre de réunions : 17

René Gélinas, président du comité
Pierre-Luc Leblanc
Martin Lemieux
Lise St-Georges
Stéphane Veilleux

Nombre de réunions : 9

Pierre-Luc Leblanc, président du comité
Yvan Ferron
Calvin McBain
Jennifer Paquet, substitut

Nombre de réunions : 2

Jennifer Paquet, présidente du comité
Yvan Ferron
Yves Roberge

Nombre de réunions : 12

Guillaume Côté, président du comité
Calvin McBain
Jennifer Paquet
Yves Roberge

Nombre de réunions : 2

Yvan Ferron, président du comité
Guillaume Côté
Alain Lanoie
Yves Roberge

Nombre de réunions : 5

Louis-Philippe Rouleau, président du comité
Luce Bélanger
Guillaume Côté
Pierre-Luc Leblanc
Jennifer Paquet

Nombre de réunions : 1

Pierre-Luc Leblanc, président du comité
Daniel Husereau
Martin Lemieux
Louis-Philippe Rouleau
Stéphane Veilleux

Nombre de réunions : 24

Pierre-Luc Leblanc, président du comité
Daniel Husereau
Martin Lemieux
Louis-Philippe Rouleau
Stéphane Veilleux

Personnel des EVQ

L’équipe de direction

Marie-Ève Tremblay, directrice générale
Marc-André Joly, CPA, CA, directeur administration, finances et TI
Marie-Hélène Jutras, directrice communications et marketing
Martin Cloutier, directeur des affaires réglementaires
Nathalie Robin, agr, coordonnatrice audits et programmes
Richelle Fortin, coordonnatrice aux affaires économiques
Mélanie Savard, coordonnatrice aux opérations

Les équipes d’employés

Direction générale

Paola De León, adjointe à la direction
Dominique Breton, adjointe administrative

Direction Administration, finances et TI

Jean-François Renaud, coordonnateur des projets informatiques
Sophie Boissonneault, analyste d’affaires
Chantal Prudhomme, technicienne l’administration
Thi Bich Thu Tran, technicienne comptable
Claire Duhamel, commis-secrétaire-réceptionniste
Christiane Jetté, commis-secrétaire-archivage

Direction Affaires économiques

Nathalie Moreno, agente de recherche économique
Sarah Joly-Simard, agente de recherche économique
Louise Vermeulen, chargée de projet

Direction Affaires réglementaires

Annie Gingras, agente réglementation et programmes
Lina Peterkin, agente réglementation et programmes
Hakima Saidi, agente réglementation et programmes

Direction Audits et programmes

Giovanni Gonzalez, auditeur
Karine Banning, auditrice
Catherine Bouchard, auditrice
Laurie Labonté, auditrice
Odile Putod, agente administrative
Manuel Pinard, agent de certification

Direction Marketing et communications

Stéphanie Fournier, coordonnatrice au marketing
Stéphane Barnabé, conseiller aux communications
Monique Daigneault, agente au marketing
Ephi Papakiritsis-L’Archer, chargée de projets

Direction Opérations et mise en marché

Aïchatou Laye Diop, analyste aux opérations
Liliana Necula, analyste aux opérations
Sabrina Plourde, analyste aux opérations
Sanae Cheqouf, technicienne aux opérations
Élaine D’Adamo, technicienne aux opérations
Chehisla Perez, technicienne aux opérations
Christopher Pierce, technicien aux opérations
Agnès Baudot, commis aux opérations

Syndicats régionaux

(Partie Montérégie, Saint-Jean-Valleyfield)
Secrétaire : André Young
3800, boul. Casavant Ouest
Saint-Hyacinthe (Québec)  J2S 8E3
Tél. : 450 774-9154
Téléc. : 450 778-3797
Courriel : [email protected]

(Outaouais-Laurentides, Lanaudière, Abitibi)
Secrétaire : Nathalie Michaud
110, rue Beaudry Nord
Joliette (Québec)  J6E 6A5
Tél. : 450 753-7486
Téléc. : 450 759-7610
Courriel : [email protected]

(Mauricie, Centre-du-Québec)
Secrétaire : Pier-Yves Desrosiers
1940, rue des Pins
Nicolet (Québec)  J3T 1Z9
Tél. : 819 293-5838
Téléc. : 819 415-0858
Courriel : [email protected]

(Montérégie-Est, Montérégie – MRC 460, 470 et 550)
Secrétaire : André Young
3800, boul. Casavant Ouest
Saint-Hyacinthe (Québec)  J2S 8E3
Tél. : 450 774-9154
Téléc. : 450 778-3797
Courriel : [email protected]

(Québec, Beauce, Côte-du-Sud, Capitale-Nationale, Côte-Nord, Saguenay-Lac-Saint-Jean, Chaudière-Appalaches, Bas-Saint-Laurent et Gaspésie)
Secrétaire : Alain Roy
2550, 127e Rue
Saint-Georges-Est (Québec)  G5Y 5L1
Tél. : 418 228-5588
Téléc. : 418 228-3943
Courriel : [email protected]